mode de vie des artistes en marge de la société
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Lartiste d’aujourd’hui ne peut plus vivre en marge de son temps et de la société. Par expérience, l’artiste peintre ne peut pas vivre uniquement au travers d’une seule galerie ou d’un site web sans trafic. Il faut s’investir socialement, entretenir des relations publiques. La communication doit déboucher sur des vernissages
Sonmode de vie et aussi son homosexualité le placent en marge de la société plutôt traditionnelle où il vit. À sa mort en 1969, les gens de Clermont incendient volontairement la demeure de Robert Cauchon afin de faire disparaitre définitivement ce lieu jugé mal famé. Le brasier emporte des documents et des œuvres essentiels à la compréhension du
Ilest, en pratique, imputé sur la somme due au vendeur, à l'issue de la transaction aux enchères, par la société de ventes, qui en informe la (les) société(s) de perception. Celle-ci a trois mois pour confirmer qu'un droit de suite est revendiqué et pour le percevoir alors au nom de son mandant. Faute de quoi, la somme réservée est
Rencontres À Xv Replay Sur France 2. Zoom sur les artistes exposants Soone Graffiti-artiste Soone, graffiti-artiste s’exprime dans le design, le graffiti et la mode. Créateur libre, sans contrainte ni frontière, il donne vie à des objets divers et variés, du design de meubles aux accessoires de fameuses marques. Snake Graffiti-artiste Réputé pour son processus unique en son genre, Snake livre sa propre vision du graffiti des grands espaces, de la rue à l’atelier, en fusionnant la symbolique figurative à la typographie urbaine, nommé Typogractère ». Apache Graffiti-artiste Apache, artiste “graffiti-vandalepur-et-dur” aime graffer sur le terrain », ce territoire de l’ombre qui l’a amené à la lumière et dans lequel il puise toute son énergie. Sa motivation, la compétition ; son adrénaline, l’interdit Der Graffiti-artiste L’œuvre de Der revisite le calligramme et le writing et s’empare d’éléments emprunté à la pop culture. Un artiste qui maîtrise la technique pour donner vie à ses créations qu’il investit. Sike Graffiti-artiste Sike, artiste vandaliste » en marge de la société, est un véritable acharné du tag et des lettres. Julie Beguin Peintre Quand d’autres écrivent d’une plume, maux et plaisirs de la vie, Julie Béguin pose sur la toile ses humeurs en couleurs. Passionnée d’art et de dessin depuis toujours, si elle laisse parler sa créativité dans sa peinture, au doigt, au pinceau, à la bombe et même à l’éponge, c’est surtout à l’instinct qu’elle croque son destin. Inspirée par le moindre ressenti, échappatoire, bulle, explosion ou exutoire, ces tableaux lookés contemporains racontent l’introspection sans borne, celle qui splashe sans faire de tâches. Eric Roussel Peintre Issu d’une famille maternelle vénitienne de mosaïstes d’art, l’artiste Eric ROUSSEL a été initié dès l’enfance à cette spécialité. Cette découverte des éclats de lumières colorées des matières, s’exprime aujourd’hui, dans ses peintures à l’huile. De ses toiles se dégagent des vibrations fortes et une énergie aussi débordante que communicative. Arnaud Chapalain Peintre Né le 29 juin 1980,à Tonnerre en Bourgogne, il crée sa première toile en voulant reproduire le tableau que sa mère voulait acheter. Peintre autodidacte, il n’utilise que le noir pour jouer en transparence avec le blanc de son support que ce soit une toile ou du bois. Il cherche l’intensité du regard de ses sujets pour toucher la sensibilité du spectateur Les yeux sont le miroir de l’âme » Géraldine G. Plasticienne Autodidacte de 33 ans et passionnée de pop art, chacune des œuvres de Géraldine G. est unique et demande des dizaines d’heures de travail. Inspirée par des grands noms tels que Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Keith Haring, son univers est joyeux et coloré. Malgré sa tétraplégie dû à une maladie neuromusculaire, chaque tableau est un combat gagné et lui procure une sensation de liberté qu’elle est fière de transmettre à tous ceux qui apprécient son travail. Mohamed Zadi Peintre et sculpteur Artiste autodidacte, il s’intéresse des son plus jeune âge à la peinture et à la sculpture. Depuis ces dernières années, il a activement participé aux mouvements artistiques nationaux avec plusieurs expositions individuelles et collectives au Maroc. Draz Photographe Photographe autodidacte, Draz fait ses classes dans les ruelles. Il s’oriente naturellement vers le portrait. Nouvelles technologies, procédés photographiques anciens, Draz mélange les genres et réalise un voyage intérieur dont chaque pas est, pour lui, plus essentiel que la destination. Cobra Art Compagny Collectif de photographes Passionnés d’art et de décoration, Cobra Art Company collabore avec des photographes et artistes internationaux pour créer leurs propres collections d’art. La marque est reconnue pour ses tableaux de photos sur plexiglass. Hervé Nys Sculpteur automobile Sculpteur d’Art automobile, Hervé NYS est né en 1960 à Cagnes-sur-Mer. Il fait ses études dans la mécanique agricole puis s’engage dans l’aéronavale en tant que mécanicien avion. La fusion de sa maitrise du bronze et de son expérience de la mécanique, donne naissance à des sculptures inédites dans l’Art contemporain. Julien Durix Peintre Julien Durix est un jeune artiste qui met en scène des protagonistes de son enfance. Depuis toujours des personnages iconiques côtoient ses toiles. Il peint comme il respire, et il nous invite à le rejoindre dans ce monde plein de couleurs où il laisse libre court à son imagination débordante. Tiven Peintre Certaines compositions de Tiven sont accompagnées de textes en forme de haïkus qui parlent de nos luttes quotidiennes. Elle peint à l’acrylique sur toile de coton ou de lin, finissant par un vernis qui donne à ses pièces un effet huile». Thomas Crauwels Photographe Thomas est un passionné des hauts sommets des Alpes suisses et françaises. Depuis 10 ans il parcourt inlassablement ces hauts espaces pour transmettre sa fascination du monde minéral et de glace qui constitue la haute montagne. Thomas est en recherche permanente d’ambiances, de textures et de lumières. Jean-Luc Sert Peintre Le travail à l’huile me pousse naturellement » à pratiquer une peinture de terre, de sang et d’eau. Je vais à la rencontre de chacun de mes tableaux, me centrant sur ce qu’il requiert au fur et à mesure de sa réalisation, tout en respectant les invariants propres à la peinture. Je fais provision de couleurs avec tous les éléments qui m’entourent. Julien Dalzon Photographe Des clichés pris aux 4 coins du globe voyages, paysages, montagnes, sports de glisse, tropiques, modèles et tout le beau croisé en chemin ! La photographie, très contrastée, en noir et blanc, est coulée dans la résine et la fibre de verre pour ensuite être montée sur une structure en acier brut et éclairée de l’intérieure. Des œuvres uniques qui allient photographie, art et design. Sarah Pastre Plasticienne Diplômée d’un Master d’études et de recherches sur la mode, je travaille depuis près de 20 ans dans le milieu du design de mode, de la création et du marketing. A travers cette collection, je cherche à exprimer, révéler et mettre en valeur des thèmes qui me sont chers. Ils se mêlent et se superposent le corps, le textile et la délicatesse. Ces créations textiles, sont en somme, la parfaite coïncidence entre ma personnalité, ma sensibilité et mon savoir-faire. Vendredi Peintre A travaillé et travaille toujours .. en muséographie pour des parcs nationaux et régionaux, le Conservatoire du Littoral, des associations de protection de la nature, collectivités, etc , … par la réalisation de sculptures, bas-reliefs, peintures, illustrations, maquettes, fresques, etc , …Peinture figurative à l’huile sur toile. Gil Crochet Peintre Après avoir produit une suite d’installations éphémères, mêlant volumes, vidéos, photographies et peintures dans les années 2000, je suis revenu aux tableaux avec une production moins conceptuelle et plus sur l’expérience esthétique, l’émotion, le sensible. Au seuil de l’abstraction et de la figuration, la série présentée à l’espace 55 ce printemps 2021, Back to the trees » donne un sens plus figuratif, à ce qui ne pourrait être que la volonté d’une gestuelle purement abstraite Christelle Calmettes Photographe Auteur-photographe depuis 2005, la vision du réel de Christelle Calmettes est double très structurée voire graphique où la composition est l’axe majeur de sa prise de vue ou bien très floue. Cette vision structurée lui permet de donner une certaine intemporalité dans ses images. Le flou représente la part d’imaginaire et d’interprétation propre à chaque spectateur. La photographie doit dépasser la description. Elle doit à travers la description, amener le spectateur à l’intérieur du sujet ou révéler le sujet, non pas tel qu’il apparaît mais de la façon dont on le ressent. » Philippe Sébillotte Photographe Philippe Sebillotte parcourt le monde depuis près de quinze ans pour découvrir les hommes, les cultures et les paysages. C’est l’Inde qui le fascine dans un premier temps, pays où il séjourne à de très nombreuses reprises. Ses pas le conduisent également dans d’autres pays d’Asie et tout particulièrement en Chine. Tout au long de ses périples il aime observer et “saisir“ les gens, le spectacle de la rue et les moments magiques face à des paysages sublimes et insolites qu’il choisit le plus souvent de traiter en noir et blanc. Olivier Robert Photographe Olivier Robert partage sa vie entre Europe et Japon. Depuis plus de 25 ans, sa photographie se base sur une expression minimaliste. Initié très jeune aux procédés de tirages en chambre noire, il acquière son premier appareil à 15 ans et découvre également l’Asie et ses richesses culturelles. Une expérience qui influencera définitivement sa vie et son regard sur le monde. Aujourd’hui il se rend régulièrement au Japon à la recherche de scènes naturelles qui lui inspirent intemporalité, simplicité et mystère. Marc Muller Photographe Marc Muller a fondé le Studio 404 en 2006. Photographe indépendant installé à Annecy depuis 2002 dans le domaine de la publicité et plus largement de l’Outdoor. Spécialiste des travaux de portraits, mode, sport ou architecture avec paysage reste au cœur de son travail depuis ses débuts en 1995. Des images mentales apparaissent devant son objectif comme des évidences et le travail de répétition par l’observation et la contemplation apporte l’image rêvée. Savoir changer de décor est aussi une chance précieuse. Lolek Artiste sculpteur LOLEK est un artiste français, né en 1984. Précoce, il compose ses premières créations en argile à 11 ans et propose ses premiers bronzes en exposition à 12 ans. Il révèle un sens inné des équilibres et travaille des formes généreuses. Jean Christian Photographe JEAN CHRISTIAN s’attache tout d’abord à capter la poésie de détails ordinaires qui ne retiennent l’attention de personne traces, fissures, aspérités, reflets et autres stigmates urbains. Ses créations flamboyantes, métissées et uniques invitent au voyage et vous emmèneront assurément vers un ailleurs inattendu. Gwenaël Bollinger Photographe Auteur photographe lyonnais né en 1973, Gwenaël découvre le monde de l’image grâce à différentes expériences dans le graphisme. Nourri et sensibilisé à l’importance de l’esthétique, il a rapidement ressenti le besoin de s’exprimer à travers ses propres créations. Ses sources d’inspiration proviennent d’univers picturaux variés tels que le cinéma, la peinture, ou la photographie. Christian Vogt Peintre Artiste peintre autodidacte, natif du monde…, inspiré par de nombreux voyages, les grands espaces, la nature et une formidable rencontre qui m’ont révélé mon désir de créer. Je peins essentiellement des portraits de femmes et d’hommes avec une technique à l’huile. Ce qui m’intéresse, c’est d’approcher l’âme humaine derrière chaque création, ces regards vous toucheront autant qu’ ils m’ont inspirés. Boucheret Photographe La série Metalrugit » revisite les années pop art et cut-up dans un style très graphique et airbrushed où le détail – tôle, cuir, cambouis, caoutchouc – devient l’objet central. Les triptyques associent les époques, les écuries à partir de véhicules emblématiques de l’histoire de la compétition automobile. En noir et blanc, il utilise des anciens appareils photos moyen format des années 1920 à 1950 pour retrouver le modelé et l’authenticité des reportages d’époque, à l’instar de Jacques Henri Lartigue. Muliardo FQD Peintre et sculpteur Florence Muliardo Roy, artiste plasticienne se consacre aujourd’hui principalement à la sculpture de grandes dents en résine. La forme achevée, elle la laque et la sublime avec des personnages célèbres révélant un art lumineux et joyeux. Outre son originalité, son style se distingue par la précision des formes et la touche d’humour insufflée. Influencé par le pop-art et le graffiti-art, il se caractérise par un univers très coloré. Anita Rautureau Peintre Les tableaux de l’artiste chantent l’amour, la maternité, la saveur du temps, le bien-être humain dans la nature qui l’enveloppe. Les couleurs chatoyantes se posent sur des motifs floraux, linéaires ou spiralaires, et la rondeur des traits et des arabesques caressent les sens du spectateur. Audrey Fortin Mosaïque d'Art J’explore avec modernité une technique de la mosaïque traditionnelle et ancestrale. La concrétisation de mon art est issue du mélange entre mes voyages, mes rencontres, mon expérience et mon savoir-faire. C’est à travers mes créations que je vous propose une nouvelle façon de percevoir l’art de la mosaïque et ses multitudes de possibilités ». Chautagnat Plasticienne A travers la symphonie des couleurs et de la matière, l ’artiste réinvente la création du monde. Sa géographie cosmique s’apparente à celle du rêveur qui veut revoir l ’univers tout en beauté, pour pallier aux offenses que les hommes lui portent. Peinture chaude et enveloppante qui vous pousse à pénétrer dans l ’infime des molécules de l’air et de l ’eau, du ciel et de la terre. Fred Bernard Peintre C’est la vie qui m’a amené à la peinture. Chaque étape, chaque partie de mon existence construit la suivante. Le lien entre tout cela, c’est ma sensibilité. Je la découvre à l’âge de six ans ; je prends conscience de cette énergie à la mort de mon père. Ensuite, c’est une lutte, une incompréhension totale. Voilà la première étape ne rien comprendre. Pourtant je vibre à tout, je ressens tout. » Hanae Biro Peintre Mes créations reflètent le corps et l’esprit de la nature. Chacune de mes œuvres est unique et aspire à vous faire voyager dans de proches et lointaines contrées. Je souhaite que mes tableaux puissent colorer votre quotidien, à l’instar du sourire de mes enfants qui colorie mon quotidien ».
À la demande de la SNCF, propriétaire du site, les forces de l'ordre ont fait évacuer, le 26 juillet au matin, les locaux de la SERNAM, situés dans la zone en friche de Baud-Chardonnet, à Rennes Ouest-France, 26-07-2011. CRS et GIPN ont débarqué avec "la Société protectrice des animaux SPA, la fourrière, des tracto-pelles, des camions-bennes, et une entreprise de déménagement" précise Le Mensuel de Rennes 26-07-2011. Le 18 janvier, la SNCF avait déposé une plainte pour occupation illégale des lieux et le 26 janvier pour effraction dans un poste électrique à haute tension, rappelle Le Télégramme 27-07-2011. Inutilisés depuis plusieurs mois, les lieux - m2 de surface couverte pour un emprise foncière totale de m2 - étaient occupés, depuis décembre 2010, par l'association ARET23 et le collectif d'artistes L'Élaboratoire link qui les avaient recyclés en espaces de répétition et de création pour les compagnies, qui avaient organisé différents ateliers pour les adhérents soudure, travail du métal, menuiserie, ébénisterie, mécanique, carrosserie, vidéo et photo, cuisine, couture, informatique, musique et avaient ouvert une cantine et un garage associatifs. "La question de la place dans notre ville des jeunes artistes en marge des institutions, et des jeunes en général qui recherchent des expériences de mode de vie alternatives, semble ignorée par nos pouvoirs publics. Leur mise à la rue ne peut qu’accentuer leur marginalisation et leur ras le bol. Nous ne pouvons construire une ville durablement sans intégrer cette partie de la jeunesse qui participe avec générosité, créativité et enthousiasme à sa vie culturelle et festive" a déclaré dans un communiqué Europe Écologie Rennes qui signale que les oeuvres et les biens personnels des artistes absents ont été mis dans des bennes à ordures. Pour d'autres informations, voir ici link et là link
Face à l'explosion de popularité de l'application de vidéoconférence Zoom, les autorités américaines s'inquiètent des garanties pour le respect de la vie privée offertes par ce service. Un recours collectif en justice a même été déposé lundi, arguant que Zoom avait partagé sans autorisation des données personnelles avec Facebook. Le service est utilisé par des professeurs qui doivent donner des cours à distance, des artistes qui font des performances en direct, des amis qui veulent fêter un anniversaire ensemble même s'ils sont à des kilomètres les uns des autres, confinés chez eux par ces temps de lutte contre le Covid-19. Mais Zoom, l'application de vidéoconférence qui a le vent en poupe actuellement, intéresse aussi les autorités judiciaires américaines. Un recours collectif en justice a été déposé en Californie, lundi 30 mars, arguant que l'application avait partagé illégalement des données personnelles sensibles avec Facebook. Le même jour, le bureau du procureur général de New York a envoyé une lettre à la start-up américaine pour obtenir des éclaircissements sur la manière dont la vie privée des utilisateurs est protégée. Car la folle success-story de Zoom depuis le début de l'épidémie de coronavirus a attiré l'attention, aussi bien des organisations de défense de la vie privée en ligne que des pirates informatiques. Les équipes de l'appli de vidéoconférence ont dû modifier en toute hâte certaines des fonctions les plus discutables, il reste cependant des zones d'ombre qui pourraient valoir à la société, créé il y a neuf ans, une enquête en bonne et due forme des autorités miné pour la vie privéeJusqu'à la semaine dernière, les quelques 15 millions d'utilisateurs avançaient en terrain très miné pour leur vie privée lorsqu'ils rejoignaient Zoom pour une réunion de travail virtuelle avec des collègues ou cherchaient simplement à maintenir un semblant de lien social en organisant un chat vidéo à plusieurs. La longue liste des soucis avait donné lieu à un rapport au vitriol, le 24 mars, du très respecté Consumer Report, équivalent américain de 60 Millions de consommateurs. Zoom ne se contentait pas des utilisations à des fins publicitaires de certaines informations personnelles qui sont monnaie courante dans la Silicon Valley. Les règles de politique de confidentialité indiquent aussi que le service peut "partager avec des tierces entreprises" le contenu des discussions et les d'autres termes, une séance de psychanalyse tenue en utilisant zoom ou encore les réponses d'écoliers durant un cours à distance pourraient être utilisées par des publicitaires. Pire, ces images seraient, en théorie, susceptibles d'être exploitées par des société travaillant sur des logiciels de reconnaissance faciale, souligne le Consumer Report. Une analyse de l'application par le site américain Vice a aussi démontré que Zoom préparait un rapport personnalisé sur chaque utilisateur spécifiquement pour Facebook."Zoom ne fait pas forcément tout ça, mais les termes et services de son application lui donnent une grande marge de manœuvre en la matière", écrit Bill Fitzgerald, spécialiste des questions de vie privée pour le Consumer start-up n'est pas la seule à avoir un grand pouvoir sur le contenu des vidéos. Les administrateurs de chaque session comme des employeurs qui organisent une réunion par exemple peuvent récupérer l'intégralité de la vidéoconférence, peuvent savoir à tout instant qui se connecte au service, et combien de temps il l'utilise. Zoom offre même la possibilité d'être alerté si un participant à une vidéoconférence passe plus d'une trentaine de secondes à vagabonder ailleurs sur Internet. Difficile, donc, de faire un petit détour discrètement sur YouTube pendant qu'un collègue fait une présentation barbante… Un niveau de flicage qui a alerté les défenseurs de la vie et webcam piratéeCritiqué de toute part, Zoom a procédé à une importante mise à jour de ses conditions d'utilisation qui adresse la plupart des reproches, dimanche 29 mars. La jeune société s'est, notamment, engagée à ne plus partager les informations personnelles avec Facebook et affirme, dorénavant, que le contenu d'une vidéo ne peut être utilisé à des fins les soucis de sécurité informatique qui sont au cœur de l'intérêt porté à Zoom par le bureau du procureur général de New York. "Nous aimerions savoir si les pratiques existantes en matière de sécurité informatique sont suffisantes pour faire face à l'augmentation soudaine en volume et en sensibilité des données qui transitent par les serveurs de Zoom", s'interroge l'autorité judiciaire derniers jours, des bidouilleurs informatiques ont découvert une faille permettant de s'inviter à une vidéoconférence sans y avoir été convié et de diffuser leur contenu sur l'un des écrans partagés. Ce phénomène, appelé "Zoombombing", a envahi les classes virtuelles aux États-Unis des pirates informatiques viennent y projeter des vidéos pornographiques ou à caractères racistes et antisémites. Ainsi, le 24 mars, un néonazi a interrompu un cours sur l'antisémitisme en exhibant un tatouage de croix gammée sur son torse, a rapporté l'Anti-Defamation risque d'exposer les plus jeunes à des contenus haineux ou sexuels a poussé plusieurs écoles américaines à déconseiller l'utilisation de Zoom pour les cours à distance. Un paradoxe pour le bureau du procureur de New York qui regrette que cet outil "parfaitement adapté pour assurer un suivi scolaire" durant la période de confinement risque de se retrouver boycotté à cause de failles de sécurité ce n'est pas le seul problème. L'an dernier, une brèche avait été découverte dans l'application permettant à des pirates informatiques de prendre le contrôle des webcams utilisés par les participants à une visioconférence. Zoom n'avait corrigé le problème que 90 jours après en avoir été informé. Pour le bureau du procureur de New York, cette lenteur à réagir n'est pas de bon augure maintenant que Zoom a envahi des millions de foyers à travers le monde. C'est pourquoi, il voudrait s'assurer que le service a fait un ménage le plus complet possible des éventuelles failles qui pourraient être exploités par des acteurs a assuré vouloir "coopérer pleinement" avec les autorités. La start-up semble déterminée à réagir face aux critiques afin de ne pas ternir sa réputation à un moment clef pour sa croissance. Mais qu'en est-il des pratiques de ses concurrents – les Houseparty, Bunch et autres – qui gagnent aussi en popularité sans être soumis à la même vigilance des autorités ? Autant de services qui, bien qu'utiles en cette période de confinement, risquent d'ajouter un nouveau niveau de surveillance, que ce soit par les publicitaires ou les employeurs. Après les États qui utilisent de plus en plus les données téléphoniques pour s'assurer du respect des règles de confinement, ces outils de vidéoconférence sont une nouvelle démonstration de l'un des paradoxes de cette épidémie plus les individus doivent s'isoler, moins ils semblent avoir de vie privée.
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“C'est dans les villes les plus peuplées que l'on peut trouver la plus grande solitude.” Si Jean Racine écrivait cette célèbre phrase en plein 17e siècle, période où la vie urbaine sous l’Ancien Régime n’avait rien à voir avec celle d'aujourd’hui, son actualité semble saisissante plus de 300 ans plus tard, à l’heure où les métropoles et les villes ne cessent de se densifier, en France comme dans le monde. C’est précisément cette solitude urbaine et contemporaine qui émane de l’œuvre de Bilal Hamdad. Exposé jusqu’au 29 mai au Suquet des artistes à Cannes, lieu de résidence et d’exposition dédié aux artistes par la ville balnéaire de la Côte d’Azur, cet Algérien de 34 ans y présente une vingtaine de toiles, s’étendant de ses années d’études aux Beaux-Arts à aujourd’hui, réalisées dans son atelier en région parisienne. Figuratives voire hyperréalistes, toutes sont, malgré leurs différences, habitées par un même thème… un panorama délibérément fragmentaire de la société contemporaine à travers ses marges, que celles-ci soient humaines, matérielles ou architecturales, où l'artiste finit par faire de la ville son terrain d’exploration favori. En atteste la toile qui sert d'affiche à l’exposition un homme debout, de dos, mains dans les poches et encapuchonné dans sa doudoune bleu roi, se tient immobile dans une encadrure cuivrée qui rappellera aux familiers du métro parisien le quai de la station Arts et Métiers, en plein cœur de Paris. Attend-il le passage du métro ou, plus philosophiquement, celui du temps ? D’ailleurs, est-il vraiment en train d’attendre quelque chose ? Comme l’écrit le critique d’art Philippe Dagen dans son texte accompagnant l’exposition, cette inaction est justement ce qui relie la plupart des œuvres de l’artiste “souvent, il ne s’y passe rien”. Rien que l’on ne puisse voir en tout cas ni capter par les visages, les expressions et les yeux, généralement détournés du spectateur, faisant de l'artiste une forme de peintre du non-événement. Lors de son enfance dans les années 90 à Sidi Bel Abbès, au nord-ouest de l’Algérie, Bilal Hamdad ne s’imaginait pas une carrière dans la peinture. Passionné de football, le jeune sportif a renoncé à ses rêves une fois la majorité atteinte pour suivre, sur les conseils de son père, son autre passion l’art. Après un passage aux beaux-arts de sa ville de naissance, c’est le chemin de la France qu’il prendra direction les beaux-arts de Bourges puis ceux de Paris. Dans ce dernier établissement, l’étudiant est passé par l’atelier du peintre Djamel Tatah et il serait difficile de ne pas voir dans l’œuvre de ce jeune Algérien l’influence de son tuteur sexagénaire, Français de naissance mais également Algérien d'origine, aujourd'hui représenté par la galerie parisienne Poggi ,et exposé dans de nombreuses institutions prestigieuses au fil de ces vingt dernières années. Chez Djamel Tatah comme chez Bilal Hamdad, on retrouve, au premier plan, les êtres esseulés, debout, assis ou alanguis, dans des positions ambiguës qui indiquent l’absence d'action particulière, de l’attente à l’ennui en passant par la pure contemplation. Au second plan, parfois, les deux peintres se recroisent encore les fonds unis et colorés qui ont fait la signature des toiles grand format de Tatah peuvent trouver leur écho dans les décors – faussement – monochromes et homogènes de Hamdad, accentuant l’expression de la solitude des sujets en les isolant entre les limites inflexibles du châssis. Sans doute pour des raisons pratiques, les premiers sujets de l’artiste étaient les membres de sa famille, représentés au fil de plusieurs portraits, puis ses camarades des beaux-arts l'un assis sur une table, la tête plongée dans ses bras croisés, l'autre affalé sur une chaise voire étendu au sol, les yeux fermés, presque comme un cadavre... tous pourraient aussi bien évoquer des scènes christiques que la réalité plus évidente, et bien moins métaphorique, d’étudiants exténués par leurs heures de production à l’atelier. Mais, plus récemment, par ses compositions urbaines, les œuvres de Bilal Hamdad pourraient parfois prendre des airs de fresques contemporaines. Les murs intérieurs ou extérieurs présents sur la toile, qui pourraient aisément s’effacer derrière le sujet, en deviennent l'acteur principal, prenant chaque personnage en étau entre l’arrière-plan et le spectateur, vers qui les regards des personnages ne sont jamais dirigés. Bilal Hamdad, “Entre les murs” 2018. Huile sur toile, 114 x 146 cm. Courtesy Collection privée et H Gallery, Paris Bilal Hamdad, “L'Attente II” 2021. Huile sur toile, 162 x 130 cm. Bilal Hamdad n’est pas de ces artistes ultra-prolifiques qui produisent des peintures à la chaîne. Son œuvre, pour l’instant limité à plusieurs dizaines de toiles, traduit également l’attention et le temps portés à chacune d’entre elles. On y entrevoit parfois quelques références à l’histoire de l’art, comme aux grands peintres réalistes du 19e siècle Gustave Courbet et Jean-François Millet, qui lui inspirent les postures de quelques personnages. Perché sur la rampe métallique d’une station de métro en haut d'une volée marches, le jeune homme représenté de profil dans l’Angelus 2021 – titre qui fait directement référence au tableau éponyme de Millet peint à la fin des années 1850 – pourrait également s’apparenter au fameux Penseur de Rodin, hypothétiquement extrait du musée parisien où il trône d'ordinaire pour se voir propulsé sur toile, dans les dessous âpres et bien moins reluisants de la capitale. Contre un Paris de l’opulence, apprécié principalement par les flâneurs, les touristes et les bourgeois, Bilal Hamdad préfère celui des souterrains plus triviaux, voire repoussants, empruntés par les classes populaires et occupés par les milliers de nomades et de sans-abri qui peuplent la capitale. Ces derniers sont d’ailleurs l’objet de plusieurs toiles réalisées par le trentenaire entre 2014 et 2015. Sur l'une d'elles, on aperçoit des membres du SAMU social dont le corps sort du cadre, que l’on devine porter secours aux plus démunis… tandis que sur d'autres œuvres, plus explicites, ces travailleurs sociaux ouvrent leurs tentes de fortune pour parler aux exclus, voire les approvisionner. Une autre toile, Sans titre 2014, symbolise cette fracture entre les humains et les classes sociales de manière encore plus nette au fond du tableau, un homme plongé dans l'ombre contemple un tableau jaune, seule tache de couleur vive sur le mur sombre, qui fait écho à la couleur de la couverture de l'homme étendu sur un matelas précaire – dans la seule partie éclairée du tableau – et aussi à la couleur de la tente coupée apparaissant dans le coin gauche, au premier plan. Tout est dit. Représenter la misère et la densité des quartiers populaires parisiens est loin d’être un thème nouveau dans l’art contemporain, au point d'en devenir une tendance parfois éculée. Le quartier de Barbès et la station de métro Barbès-Rochechouart elle-même, devenue une forme d’icône de ce foisonnement urbain – et d’une réalité parisienne bien éloignée des images d’Épinal que s'en font les plus ingénus – ne cessent d’inspirer les plasticiens, photographes et autres cinéastes. Mais au-delà de ces lieux fortement identifiables et restitués avec précision, la force de la peinture de Bilal Hamdad réside principalement dans sa représentation des espaces liminaires et ordinaires dessinant les contours d'une neutralité évasive morceaux de trottoirs, angles de rues ou même tunnels ombragés que l’on ne saurait replacer sur une carte, et qui n’ont d’autre pouvoir que celui de confronter le spectateur à l’espace dans son plus pur dénuement. Que cachent ces multiples recoins, qui sont celles et ceux qui vivent dans l’ombre de cette péniche amarrée à la lisière d'un pont, que trouverait-on en bas de la descente menant à l’entrée d’un garage, ou que comprendre derrière le symbole wi-fi qui apparaît sur la tranche d’un bâtiment dépouillé, seule icône identifiable parmi ces cloisons unies teintées de crème, de rose et de vert émeraude ? Le titre de l’exposition de Bilal Hamdad à Cannes s’intitule “Solitudes croisées”. Lorsqu'on la parcourt, l'interrogation subsiste toutefois sur la capacité de ces solitudes à, réellement, se croiser. Mais ainsi juxtaposées, accrochées face à face, elles offrent autant d'aperçus simultanés de ces nomades aux destins brisés qui émaillent le quotidien des métropoles, scènes devenues d'une effarante banalité dont les passants, désensibilisés par l'habitude, finissent par ne plus s'émouvoir, au point parfois de ne plus les voir. Dans l'espace en sous-sol du Suquet des artistes, surplombé par les rues cannoises, la peinture de Bilal Hamdad offre au moins au visiteur le temps d'arrêter regard sur leur réalité. Au lieu, comme tant de personnes le font tant chaque jour, de passer son chemin pour suivre, machinalement, la traversée de sa propre existence dans une ville à la rumeur incessante. Bilal Hamdad, “Solitudes croisées”, jusqu'au 29 mai 2022 au Suquet des artistes, Cannes. Vue in situ de l’exposition de Bilal Hamdad, “Solitudes croisées”, Suquet des Artistes, Cannes. © Olivier Calvel
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